Félix Tshisekedi a balayé d’un revers de la main les accusations selon lesquelles il aurait engagé le groupe Wagner dans la guerre qui oppose les FARDC aux rebelles du M23 dans la province du Nord-Kivu.
Dans une interview accordée ce samedi 18 novembre au journal belge « Le Soir », le chef de l’État parle plutôt des inspecteurs d’origine roumaine ou française.
« Le groupe Wagner n’est pas au Congo. Au Kivu, il y a le groupe Agemira, composé d’instructeurs d’origine roumaine ou française », a-t-il dit
Et à Félix Tshisekedi d’expliquer : « Ce ne sont pas des mercenaires. Ils forment nos troupes sur le terrain, en temps réel. C’est une formation concrète, continue, un vrai coaching en situation de guerre ».
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