Dans un article, « De Kigali à Pretoria, les discrètes, les manoeuvres de Joseph Kabila », le média très introduit, Africa intelligence a plumé sur l’ancien Président de la RDC qui « ces dernières semaines, Joseph Kabila a dépêché une poignée d’émissaires dans plusieurs présidences africaines pour évoquer l’élection de 2023.
Un activisme qui préoccupe les chancelleries occidentales et tout particulièrement Washington qui a pris langue avec l’ancien chef de l’Etat ». Et de poursuivre que, « Dans l’ombre et le silence, Joseph Kabila inquiète. L’ancien président congolais (2001-2018) ne supporte plus la situation tant politique que militaire et peine à contenir sa colère contre son successeur, Félix Tshisekedi, qu’il considère comme un dictateur à vaincre ». L’article souligne que « Kabila s’estime sous une surveillance teintée de harcèlement administratif et exposé à une menace physique.
(…) Il jette l’anathème en particulier sur la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de même que la Cour constitutionnelle, incapables à ses yeux d’organiser le scrutin et de garantir un processus équitable.
À cela s’ajoutent des critiques sur le supposé isolement international de la RDC, et les relations dégradantes de Félix Tshisekedi avec ses voisins de la sous-région ».
Toujours selon les sources d’Africa intelligence, « des représentants de la Kabilie ont été dépêchés ces dernières semaines auprès de plusieurs présidents d’Afrique australe, notamment le Sud-africain Cyril Ramaphosa, le Zimbabwéen Emmerson Mnangagwa, et le Namibien Hage Geingob. Une autre aux pays membres de l’East African Community (EAC), tels que le Rwanda de Paul Kagame, l’Ouganda de Yoweri Museveni, le Kenya de William Ruto et la Tanzanie de Samia Suluhu Hassan.
L’objectif est d’alerter, au nom de Joseph Kabila, sur la dérive actuelle du pouvoir congolais et sensibiliser au risque que le pays s’enfonce dans une nouvelle crise. Sur le volet militaire, Joseph Kabila met également en exergue la désorganisation de la troupe, ainsi que leur manque d’équipement et leur incapacité à porter un coup décisif au M23″.
Cet organe de presse est revenu sur le ballet diplomatique qui s’était fait auprès du fermier de Kingakati.
Lwarhiba Musimwa Maître
Une réponse
Pour moi monsieur kabila a fait 18 ans a la tete de ce pays il devrait absolument tourner la page de la politique de la rdc.
Qu’il fasse tranquillement sa vie civile en lieu et place de marcher avec le stylo rouge pour corriger les savoir faire des autres qui gerent le rdc.
Il doit savoir que monsieur tshisekedi ne pas lui monsieur kabila, sont deux personnes differentes
Chacun a sa facon ou sa maniere de faire les choses. alors laissez monsieur tshisekedi marquer aussi son temps a la tete du pays comme lui l’a fait apres quoi viendra le tour d’un autre congolais qui viendra a son tour marquer aussi son temps ainsi de suite.
Un temps perdu est un univers fermer a jamais.
merci